Clan Fujiwara [ - 2/2 libres - ]

Né de ses parents chefs du clan Fujiwara, Yorinaga n'a eu qu'à accéder à leur place une fois ceux-ci décédés.
Il a créé des écoles accessibles aux yôkai et humains et a placé plusieurs yôkai dans des postes administratifs. Il est de ce fait très apprécié de ceux qui le connaissent.

Yorinaga a eu une enfance timide et très calculée par son majordome ; une adolescence assez mouvementée de par l'envie de se défaire de ses responsabilités.

Mais sa rencontre avec les autres chefs de clan changera énormément de choses en lui, et il prendra alors à bras ouverts les devoirs et responsabilités qui lui sont incombées.

Il n'a pas encore d'épouse, ni d'enfants, ce qui tend les familles à lui proposer leurs filles. Malheureusement, il sait que son devoir est de se lier avec un autre clan pour apaiser les tensions.

Il sait qu'elle tente de se rapprocher de lui, mais il ne la rejette pas pour autant.
Pour l'instant il préfère se préoccuper de l'avenir des deux clans, et a peur d'aller trop loin, de franchir une limite qu'il s'est imposée depuis des années malgré l'amour qui les rassemble.

Yorishiki n'a pas eu beaucoup de choix dans sa vie, puisqu'elle a été dirigée par son père du début à la fin.
Éduqué par les plus grands du clan Fujiwara, il était toujours emmené à la Cour aux côtés de son père, Ministre de droite de l'époque, de façon à ce qu'il puisse apprendre tout du métier. Son enfance était donc bercée par l'économie, le droit et les langues.

Il a atteint rapidement le rang des grands de la Cour en faisant des échanges avec les Qing - dont la princesse Qing Li Mei provient, ce qui le propulsa très jeune (17 ans) au rang de représentant Fujiwara.

Malheureusement, il est souvent le centre du scandale car ses ennemis les plus virulents souhaitent sa déchéance. Parmi les rumeurs, certaines disent qu'il fréquenterait des yôkai, ou encore qu'il serait amoureux d'une yôkai... aux autres d'interpréter, mais ses secrets restent autant les siens que ceux du clan.

Totalement dévoué à son seigneur, il l'admire et le soutient dans ce rare courage qu'ont les hommes pour soutenir autrui et surtout leurs différences. Il essaie de son côté de l'aider dans ces tâches en menant des missions discrètes auprès de la population.

Il respecte l'intendant autant que son seigneur. Il a toujours voulu qu'il reprenne les rênes du pays, puisqu'il ne supportait pas l'ancien gouvernement et fera tout pour le soutenir dans ses nouvelles tâches, mais il garde une certaine distance par rapport à lui, se doutant de l'intelligence de la bête.