Clan Ôtomo [ - 2/2 libres - ]

Né de son père frère du chef de clan et sa mère soeur du chef de clan, il n'a pas été tout de suite chef du clan Ôtomo.

Pendant toute son enfance on l'a laissé jouer comme les autres enfants en espérant que son cousin accèderait au poste, et une fois fait pendant son adolescence, celui-ci mourut d'une maladie.

Étant le seul "disponible", on l'a assommé de culture générale et de devoirs pendant un an avant qu'il ne puisse reprendre le rôle de son cousin.

Ainsi, il n'est pas l'héritier direct de la famille mais celui d'une branche, ce qui ne change rien à ses compétences, même si ses débuts se sont faits dans la maladresse.

Il est pourtant connu pour son professionnalisme et donne souvent des cours au Palais.

Son lien avec Masato est encore très peu concluant, car ce dernier vient seulement d'accéder à la tête de sa famille.
Ayant brisé les liens entre les deux clans lors de la gouvernance de Masamuko, les deux tentent des approches plus ou moins positives pour les réunir de nouveau. Peut-être qu'en fonction, il lui prêtera allégeance.

Hideaki est le cousin direct du Chef de clan Ôtomo no Hoshigaki, mais son destin ne se prédestinait pas à la Cour Impériale, bien au contraire.

Souvent délaissé au profit du chef premier, il n'a eu une éducation que très sobre et limitée. Il a dû chercher lui-même dans les bibliothèques de la famille sans la permission de celle-ci de façon à comprendre le monde qui l'entoure ( c'était également un sacré casse-cou ).

Lorsque Hoshigaki a été placé à la tête du clan, on l'a destiné aux affaires d’État et on lui a présenté d'innombrables archives. Même si la façon de faire ne lui a pas plu, il a pu démontrer tout de même qu'il était très doué et lettré à souhait.

Il a rapidement monté les échelons et l'Empereur l'a mandé à sa cour pour représenter le clan Ôtomo. Mais la politique ne lui plaisant guère, il a fait de son rang un atout pour écrire et publier ses romans à l'eau de rose.

Là, il a su démontrer ses talents pour provoquer ou humilier quiconque oserait trop s'avancer sur les marches du podium en se fichant bien des critiques, qu'il détourne souvent en sa faveur.

Il apprécie son chef, mais aime tout autant le taquiner pour le voir se décomposer. Il préfère l'embêter lorsqu'il est beaucoup trop sérieux.